Archive d’étiquettes pour : Portrait

AR Mood Festival
Un succès total pour la quatrième édition
Durant trois jours, l’AR Mood Festival a attiré un très nombreux public, le week-end dernier,
à Fleurier. Premier bilan de cette 4e édition avec Franziska Vuille et Mike Cortese, vice-présidente et président du comité d’organisation.
Un succès total pour la quatrième édition

Portes ouvertes de l’entour’âge
Dans la clairière du 3e âge !
Le cocon, la forêt ou encore le soleil sont autant de dénominations utilisées pour délimiter l’espace du foyer de jour l’entour’âge qui s’étend désormais sur un étage complet à la rue des Petits-Clos 41, à Fleurier. N’y voyez aucun hasard, ce sont les participants eux-mêmes qui ont opté pour ces mots qui évoquent un quotidien paisible, sain, actif et stimulant, comme veut l’être ce lieu où règne en maître le 3e âge !
Dans la clairière du 3e âge !

Concert des yodleurs de Sainte-Croix

Célia Sapart
Une femme au carrefour du changement climatique!
Célia Sapart est une femme d’action. C’est surtout une scientifique qui a multiplié les missions polaires sur le terrain. Derrière elle, se cachent aussi 13 années de recherches académiques, dans différentes universités du monde et un rôle d’experte auprès du GIEC (Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat). Dès la semaine prochaine, elle assurera une chronique mensuelle dans le Courrier. Présentation !
Une femme au carrefour du changement climatique!

Laura Della Vedova
La photographie comme toile de vie
Laura Della Vedova a un nom chantant et poétique. Elle a l’âge de la légèreté (30 ans) et elle flirte avec le Val-de-Travers depuis trois ans. Le dada de cette assistante socio-éducative, c’est la photo ! Elle a reçu son premier appareil jetable à l’âge de 8 ans lors d’un voyage à New York. Ça aide ! Puis, celle qui a perdu son papa à 15 ans a découvert une autre façon d’appréhender les images. « C’est une trace qu’on laisse derrière nous, un peu comme un héritage aux futures générations. Ces souvenirs à portée de main m’ont personnellement beaucoup aidée à traverser ce moment. » Pas étonnant qu’elle cherche à transmettre aujourd’hui de l’humanité et des émotions grâce à ses clichés. Rencontre.
La photographie comme toile de vie

Carnet de missions
Samedi 7 décembre, Ploeren, dans le Morbihan. Il est 20 h 50 lorsque Christian Fatton franchit la barre symbolique des 7000 kilomètres parcourus en compétitions depuis le début d’année 2024. C’est la 11e personne seulement à franchir un pareil cap selon les statistiques officielles du DUV qui recense plus de 9 millions de résultats d’ultra-marathons. Que fait le coureur de Noiraigue pour fêter ça ? Il continue à courir évidemment. « Je pensais déjà aux prochaines courses que j’ai encore à faire d’ici au 31 décembre. J’ambitionne d’atteindre au moins les 7500 bornes sur 12 mois », rapporte l’incorrigible et insatiable Vallonnier. Pour votre culture générale, sachez que le record absolu est détenu par Andrea Marcato (41 ans) et ses 8800 kilomètres. Et dire que tout a démarré pour Christian Fatton à partir d’une vieille circulaire scolaire chiffonnée…

Carnet de missions
Toutes les bonnes choses se méritent, paraît-il ! L’adage se confirme dans cette mission où je dois aiguiser mon sens de l’orientation pour localiser le lieu de production de Jacot Haute Chocolaterie. Cette entreprise a beau exporter loin à la ronde la renommée du Val-de-Travers grâce à ses produits, elle n’en est pas moins restée à taille humaine. Une petite « affaire familiale », basée dans un petit village d’une petite commune du canton de Neuchâtel : ce beau conte de fées (c’est vallonnier) a de quoi plaire aux clients. La réalité dépasse parfois la fiction et il est bien difficile de trouver le lieu de création néraoui. C’est finalement chose faite, dans un coin du village, niché au cœur du calme et du silence. Mais une fois la porte d’entrée poussée, on bascule alors dans un autre monde...

Jean-Pierre Cattin
Un homme à découvert
De prime abord, on ne sait pas de quel côté ouvrir la discussion avec Jean-Pierre Cattin. C’est peu dire que le Vallonnier de 64 ans a eu une vie bien remplie jusqu’ici. Une vie durant laquelle il a pris soin de ne jamais trop sortir des rangs, préférant toujours rester en position de retrait. Pourtant, il en a fait des choses et il en a vu du pays. Et on ne dit pas seulement cela en référence à ses 23 ans de carrière en tant que facteur...
Un homme à découvert

Carnet de missions
Maurice Rochat n’a pas eu une vie comme les autres. Ce dur au mal est un ancien maçon qui a honoré son service militaire dans les troupes sanitaires. Plus tard, il a également été infirmier chez Dubied avant de travailler dans les hôpitaux de Couvet et de Fleurier. Est-ce son besoin de prendre soin des autres qui l’a poussé un jour à avoir envie d’évasion ? Penchons-nous sur son cas ! Cette évasion, il l’a principalement trouvée à travers le sport, n’hésitant pas à se frotter à son premier marathon à l’âge de... 60 ans. Mais avant d’atteindre ce cap, l’homme avait déjà beaucoup couru, comme le témoignent ses huit participations aux 100 kilomètres de Bienne notamment. Maurice a couru, oui, mais il a aussi parcouru le monde. De la Muraille de Chine au sommet du Kilimandjaro, le roi de l’évasion a goûté à la liberté par monts et par vaux, sans jamais se ménager. Et même si Maurice Rochat n’est pas encore en bout de course, le temps a quand même fini par le rattraper…

Miss Fête des vendanges
Une expérience mi-figue, mi-raisin
Amélie Aeschbacher a 22 ans. Elle a grandi à Fleurier. Elle mesure 1 m 67. Quel intérêt de mentionner sa taille ? Car c’est ce qui l’a long- temps empêchée de participer à des concours de beauté. Mais l’élection de Miss et Mister Fête des vendanges se veut plus rassembleuse et aucune limite d’âge et de taille n’existe. Voilà donc ce qui a définitivement poussé la jeune femme à y participer. Si elle a été sélectionnée dans les dix finalistes, elle n’a pas remporté la couronne le 26 octobre dernier. Amélie en garde toutefois « que du positif, ou presque », regrettant le côté politisé, ou idéologisé, que semble prendre le concours selon certains.
Une expérience mi-figue, mi-raisin

Carnet de missions
Les mois se suivent et les causes ne se ressemblent pas. Pourtant, les maladies ne manquent pas et la sensibilisation ne s’arrête pas. Ainsi, octobre rose et son cancer du sein a laissé la place à novembre bleu et à ses maladies masculines tel le cancer de la prostate. Bien qu’utile, tout ceci est très abstrait et théorique. J’ai donc décidé de partir à la recherche d’un témoignage pour donner du corps et de la matière au sujet. C’est ainsi que je vous présente Monique (prénom fictif).

Un ancien de chez Dubied reconverti dans les Lego
Jean Paul Dumont, sans trait d’union, a 70 ans. Il a travaillé une grande partie de sa vie dans l’entreprise Dubied de Couvet. Il y est entré en tant qu’apprenti mécanicien et il y est resté fidèle jusqu’à la faillite. Il y œuvrait sur des machines CNC. « Tout était automatisé, j’adorais faire ce que je faisais », dit-il. Au moment de la retraite, sa volonté de continuer à « construire » l’a poussé vers d’autres types de « pièces » : les Lego. Ce trait d’union entre la vie active et la retraite lui a déjà fait monter plus de 150’000 pièces les unes sur les autres.