Le cocon, la forêt ou encore le soleil sont autant de dénominations utilisées pour délimiter l’espace du foyer de jour l’entour’âge qui s’étend désormais sur un étage complet à la rue des Petits-Clos 41, à Fleurier. N’y voyez aucun hasard, ce sont les participants eux-mêmes qui ont opté pour ces mots qui évoquent un quotidien paisible, sain, actif et stimulant, comme veut l’être ce lieu où règne en maître le 3e âge !

Tout tient parfois à peu de chose dans la vie. Un vieux fourneau qui tombe en panne et voilà l’existence d’une buvette de village menacée. Mais cette buvette n’est pas n’importe laquelle. C’est celle du téléski de La Côte-aux-Fées. C’est donc un endroit fait de souvenirs. Des souvenirs qui créent un attachement particulier avec la population. Cet attachement s’est transformé en solidarité lorsqu’il a fallu trouver 20’000 francs pour acheter un nouveau fourneau et rénover la buvette en même temps. 65 donateurs privés, 30 entreprises, 18 bénévoles et des heures de travail bénévole ont écrit cette belle histoire qui s’est mijotée « derrière les fourneaux ».

Jeudi 4, vendredi 5 et samedi 6 mai : trois jours pour faire résonner le souvenir des Bourbaki au son des fusils et des pistolets. Ils ont été quelque 300 tireurs à répondre à « l’appel » de ce tir historique qui fêtait sa deuxième édition cette année. « Nous en avions accueilli 240 en 2022 donc c’est une belle progression », note Mélanie Renaud, membre du comité de la Société de tir de La Verrisanne. Le fait est que ceux qui viennent tirer repartent satisfaits de leur expérience aux Verrières et ils en parlent positivement autour d’eux. Ce qui gonfle apparemment les chiffres d’une année sur l’autre.

La semaine dernière, nous avons plongé une première fois au sein des consultations infirmières petite enfance, qui ont lieu tous les mercredis matin, dans les locaux fleurisans du Cora (9 h à 11 h). Après cette présentation générale, on se penche aujourd’hui sur des témoignages de parents qui expliquent comment ce service de la Croix-Rouge neuchâteloise les aide au quotidien. Cet endroit plaît car il est neutre, rassurant et les enfants peuvent jouer avec d’autres bambins de 0 à 4 ans. Le travail de l’infirmière petite enfance, Céline Pellaton, est également salué.