Samedi 20 août, à partir de 13 h 30, auront lieu des pony-games. Ce sont des jeux équestres dʼadresse et de vitesse avec poney ou cheval, en équipes de deux qui se transmettent le témoin et se courent en simultané sur deux parcours.
Lors des deux derniers week-ends de juin, la commune de Val-de-Travers a accueilli les lauréats de son concours « découverte ». Durant trois jours, neuf personnes (et deux chiens) ont pu vivre au rythme du Vallon, s’émerveiller de ses qualités naturelles et faire des rencontres mémorables.
À défaut dʼavoir vu des illuminations dans le ciel fleurisan lors du 1er août, le feu dʼartifice se passera dans la patinoire, ce vendredi soir. à 19 h, le HC La Chaux-de-Fonds et Genève-Servette tenteront de mettre des étincelles dans les yeux des spectateurs dans un match qui se veut amical.
Après deux années de disette, perturbées par le Covid, l’Avivo section Val-de-Travers a repris ses activités en cette année 2022.
Hier mercredi, vers 11 heures, un incendie domestique sʼest déclaré à Couvet. Cʼest au 6e étage de la rue de la Flamme 14 que le feu a fait rage. Les pompiers du SDIS Valtra sont intervenus à temps pour contenir le sinistre. Lʼoccupante des lieux a été évacuée et elle est hors de danger. Les autres résidents de lʼimmeuble ont également été mis en sécurité le temps de lʼintervention.
Les étés se suivent et ne se ressemblent pas en Suisse et au Val-de-Travers. Déjà, la fin des « mesures Covid » a redistribué les cartes. Les frontières sont à nouveau largement ouvertes et il n’est plus question de garder tous les « touristes suisses » au pays. Les familles helvétiques ont retrouvé la route, le rail et les airs pour aller voir du pays ailleurs. Néanmoins, cette baisse de fréquentation « locale » est en partie compensée par le retour des vacanciers étrangers sur notre territoire. Ensuite, le temps sec et souvent très chaud de cette saison contraste avec la période estivale mitigée de l’an dernier. Si on peut instinctivement penser que c’est un atout pour les loisirs, ce n’est pas totalement vrai pour des activités non aquatiques comme à la Robella. On fait le point sur les premiers enseignements avec son chef d’exploitation Vincent Bouquet.
Après deux mois d’août marqués par le Covid, 2022 semblait enfin avoir la voie libre pour faire feu de tout bois. La sécheresse est pourtant venue jouer les trouble-fête nationale. Les communes de Val-de-Travers et de La Côte-aux-Fées ont donc laissé les feux d’artifice dans leurs cartons lors des festivités du 1er août. Celle des Verrières a été la seule à maintenir ses illuminations, moyennant un changement de lieu de tir et de célébration. Plus de 400 personnes ont afflué au village pour y assister. Après les mots et les maux exprimés dans les discours de circonstance, la population a ainsi pu lâcher quelques « ohhh » d’émerveillement.
Les concierges assurent l’entretien du bâtiment, de son hébergement et de la piscine des Combes. À espaceVAL, les travaux de nettoyage représentent une grande partie de leur travail. Toutefois, ces derniers effectuent également d’autres travaux comme le marquage hebdomadaire du terrain de football, la tonte à la piscine des Combes, des réparations diverses et des rénovations de locaux (peinture, électricité, menuiserie…). À la piscine des Combes, hormis les tâches quotidiennes de nettoyage pendant la saison, ils participent très activement aux travaux d’ouverture et de fermeture des installations. Le responsable de l’infrastructure qui est secondé par un suppléant, est en charge des secteurs de la conciergerie et du gardiennage. Il assure également la responsabilité des chauffages à distance de Couvet et des Bayards avec son suppléant qui, lui, assume la responsabilité technique des deux piscines.
Depuis un mois et demi environ, une étrange forme de 4 mètres de haut est apparue sur le sol de Môtiers. Dans n’importe quel autre village suisse, cela aurait donné lieu à d’innombrables questionnements. Est-ce une plante de maïs transgénique ou une antenne 5G camouflée dans un sarcophage ? À Môtiers, c’est presque passé inaperçu, comme si c’était normal de voir pousser ce genre de choses dans la « bourgade aux artistes ». C’est d’ailleurs à un artiste ayant collaboré à « Art en plein air » 2021 que l’on doit la « paternité » de l’œuvre de 4 mètres de haut. En lui donnant vie durant 25 mois, Olivier Sidler a réalisé son rêve d’élévation. Il raconte cette « prise de hauteur ».
Pour la seconde année consécutive, les élèves, encadrés par leurs enseignants, ont choisi de faire bénéficier l’association Chariot Magique de leur magnifique action de solidarité.
