Archive d’étiquettes pour : Chroniques

70e Mi-Été des Bayards
Coller, décoller, s’envoler!
La Mi-Été des Bayards reviendra en force les 15, 16 et 17 août prochain. Pour célébrer son 70e anniversaire, le grand rendez-vous du mois d’août s’est donné les moyens de marquer les esprits avec un comité élargi et le retour d’un double cortège : aux flambeaux le vendredi soir avec pas moins de 30 groupes et de la cavalerie le dimanche après-midi. De quoi vous faire coller avec l’état d’esprit d’antan, décoller les rétines de plaisir et même vous envoler grâce à un bon de voyage de 500 francs à gagner via… du papier toilette !
Coller, décoller, s’envoler!

La Robella
TBRC va rechercher 1.5 million pour son projet d’avenir
En septembre prochain, la coopérative TBRC entreprendra une recherche de fonds afin de finaliser le financement de son projet « Avenir Robella 2025-2065 ». Ce dernier prévoit notamment le remplacement de l’installation par une télécabine.
TBRC va rechercher 1.5 million pour son projet d’avenir

Abbaye de Fleurier
Trois jours complètement canon!
L’Abbaye 2025 est repartie aussi vite qu’elle est arrivée mais elle laisse derrière elle une population conquise, des stands heureux et des esprits soulagés. Comme pour demander pardon, à la suite de l’édition raccourcie de l’an dernier (en raison de risque météorologique accru), le ciel a couvert l’événement de trois jours canonissimes et caniculaires. En parlant de canon, la première histoire 2025 de l’Abbaye débute par un coup de canon justement…
Trois jours complètement canon!

502e édition
L’Abbaye de Môtiers s’appuie sur ses fondamentaux!
Ce n’est pas à une tradition riche de 502 ans d’histoire que l’on va apprendre la vie ! L’Abbaye de Môtiers continue à faire la pluie et le beau temps au village grâce à la stabilité de ses fondamentaux mais aussi à quelques touches de nouveautés, apportées au compte-gouttes. L’édition 2025 n’a pas fait exception à la règle et tout s’est bien passé, même si le cortège de 18 heures n’est pas passé entre les gouttes et qu’il fut sans doute le plus court du Vallon lors du jour le plus long de l’année !
L’Abbaye de Môtiers s’appuie sur ses fondamentaux!

Fête villageoise de Saint-Sulpice
Un flacon aux innombrables élixirs de plaisir!
La fête villageoise de Saint-Sulpice a vécu une édition 2025 placée sous le signe… du liquide ! Non, on ne parle pas de la pluie qui a eu la bonne idée de faire l’impasse sur le week-end de fête mais d’autres fluides qui avaient tous le goût du succès comme caractéristique commune. Goûtons-les un par un !
Un flacon aux innombrables élixirs de plaisir!

Swiss Canyon Trail
Plus de 3500 coureurs pour une édition anniversaire hors norme
La 30e édition du Swiss Canyon Trail restera dans les annales. Marquée par un nouveau parcours mythique de 166 km, une météo dantesque et la présence d’un plateau élite international exceptionnel, cette édition anniversaire a rassemblé près de 3500 coureuses et coureurs dans des conditions extrêmes, révélant autant leur forme physique que leur force mentale.
Plus de 3500 coureurs pour une édition anniversaire hors norme

AR Mood Festival
Un succès total pour la quatrième édition
Durant trois jours, l’AR Mood Festival a attiré un très nombreux public, le week-end dernier,
à Fleurier. Premier bilan de cette 4e édition avec Franziska Vuille et Mike Cortese, vice-présidente et président du comité d’organisation.
Un succès total pour la quatrième édition

Portes ouvertes de l’entour’âge
Dans la clairière du 3e âge !
Le cocon, la forêt ou encore le soleil sont autant de dénominations utilisées pour délimiter l’espace du foyer de jour l’entour’âge qui s’étend désormais sur un étage complet à la rue des Petits-Clos 41, à Fleurier. N’y voyez aucun hasard, ce sont les participants eux-mêmes qui ont opté pour ces mots qui évoquent un quotidien paisible, sain, actif et stimulant, comme veut l’être ce lieu où règne en maître le 3e âge !
Dans la clairière du 3e âge !

Le saviez-vous?
Le Conseil d’État a adopté un rapport du Grand Conseil à l’appui de deux projets de décret portant adhésion du Canton de Neuchâtel au concordat intercantonal sur la compensation des charges pour la formation universitaire et dans les hautes écoles spécialisées. Ces deux accords assurent l’égalité de traitement dans l’accès aux hautes écoles dans toute la Suisse et, en contrepartie, les cantons participent au financement de la formation de leurs ressortissants suivie dans une haute école d’un autre canton. Cette adhésion garantira également à ses trois hautes écoles (Université, HE-Arc et HEP-Bejune) la compensation des charges pour la formation dispensée aux étudiants des autres cantons.

Les tubes de l’automne?
La nouvelle exposition de l’espace culturel Bleu de Chine s’est ouverte samedi à Fleurier. Elle aura cours jusqu’au 12 novembre prochain. Les peintures de Chloé Brocard, les cyanotypes élaborés de Catherine Corthésy ainsi que les « drôles de tubes » en bois de Richard Rohart s’offriront à vous et traverseront peut-être votre curiosité.

Le saviez-vous?
Le Conseil d’État a adopté un rapport au Grand Conseil par lequel il propose une baisse temporaire du barème d’impôt sur le revenu des personnes physiques, à hauteur de 1% en 2024 et 2025, rendue possible grâce à la progression des revenus fiscaux.

Le saviez-vous?
Le Conseil d’État a adopté le montant du salaire minimum cantonal 2024, soit 21.09 francs par heure. Comme prévu par la loi, le montant du salaire minimum est adapté chaque année à l’évolution de l’indice des prix à la consommation. Ce montant indexé permet de compenser le renchérissement et vise à protéger le pouvoir d’achat des travailleurs qui en bénéficient. Le Conseil d’État invite l’ensemble des employeurs du canton à envisager une telle adaptation. Dans l’agriculture, la viticulture et l’horticulture, le salaire minimum est fixé à 17.93 francs par heure pour 2024.

Ä halle wo’s fägt! Pardon?
Lorsque Karin Möbes Maillardet me donne le nom du projet pilote dont elle s’occupe, j’ai d’abord du mal à le saisir : « ä halle wo’s quoi ? » « ä halle wo’s fägt ! C’est de l’allemand. On peut le traduire par salle ouverte. Cette activité existe déjà depuis 2005 de l’autre côté de la Sarine », précise la Saint-Galloise d’origine. Bon, et cette salle ouverte, ça consiste en quoi du coup ?

Le plaisir à portée de main!
C’est un endroit méconnu du Val-de-Travers, niché aux deux derniers étages du bâtiment de la Grand Rue à Couvet. Loin d’être aussi visible que le bric-à-brac fleurisan du Cora, qui « donne sur la rue », le bric-à-brac de l’Eren est plus discret. Et pourtant, il en a des choses à montrer ! De l’utile à petit prix jusqu’à l’insolite qui illumine les visages de sourires, tout se côtoie dans une joyeuse organisation. La petite équipe de bénévoles essaie de transformer chaque recoin en une découverte visuelle hors du temps.

Une incontrôlable folie anime les murs d’espaceVal
« Plus on est fou, plus on est heureux. Chaque jour qui passe, je me répète de ne jamais laisser périr cet héros folâtre qui est en moi. » Cette folie, l’artiste Olivier D. Barrelet a parfois bien du mal à la tempérer. Ainsi, le sculpteur môtisan a maintenant transformé le grand hall d’espaceVal à son image. Mais où s’arrêtera-t-il donc ? Plus de 80 de ses créations sont exposées jusqu’au 5 novembre. Sa comparse Catherine Trudel a quand même réussi à caler 11 de ses tableaux à l’ambiance azur. C’est le coup d’œil du Courrier !

Des dizaines d’histoires au vent!
Des dizaines de ballons qui s’envolent et qui s’échappent au gré des vents du Val-de-Travers. Cette scène s’est déroulée dimanche aux Verrières. L’association de soutien au deuil périnatal « Pomme d’Amour » avait réuni une vingtaine de « lâcheurs de ballons » suisses et français pour sensibiliser à cette cause. Un message avait été accroché au bout de chaque ballon 100% biodégradable. Celui-ci faisait référence à l’histoire d’une famille touchée par la perte d’un enfant ou était un mot adressé directement aux disparus. L’envol des ballons vers le ciel a été un moment symboliquement fort. Ce sont autant d’histoires qui se sont dispersées depuis la cour de l’école des Verrières et qui se déposeront peut-être dans une oreille attentive au bout de leur chemin.

Si le pont de Môtiers pouvait parler…
Le Courrier vous a raconté l’histoire de la construction du nouveau pont de la cascade de Môtiers dans une précédente édition (article à retrouver sur notre site internet : courrierhebdo.ch). La deuxième phase du projet consistait à installer la structure de près de 2 tonnes à la place de l’ancienne. « Ce ne fut pas une sinécure », dirait le pont s’il pouvait parler. Mais un pont, ça ne parle pas ou bien ? Je ne sais pas mais ces mots ont été prononcés pas loin du pont où se tenait le conseiller communal Frédéric Mairy.

Police neuchâteloise
Cyber-escroquerie toujours d’actualité
Des arnaques téléphoniques et tentatives de cyber-escroquerie sont toujours d’actualité dans notre région. La police neuchâteloise rappelle les recommandations d’usage.
Cyber-escroquerie toujours d’actualité