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Lettres ouvertes
22 mars 2024

Notre histoire

Nous sommes en 52 av. J.-C. juste au nord de Dijon, dans la ville d’Alésia ; Vercingétorix et ses soldats sont en train de la défendre car César l’a assiégée avec ses troupes. Après 30 jours, la nourriture commence à y manquer. Alors Vercingétorix chasse toutes celles et tous ceux qui ne sont pas en état de combattre, espérant que César les laissera passer : femmes, enfants et vieillards, car ce sont eux qui ne peuvent plus être nourris. Mais César leur barre la route et les deux chefs d’armée, Vercingétorix et César accompagnés de leurs valeureux et héroïques soldats, regardent les civils mourir de faim dans d’atroces souffrances.

Plus de 2000 ans se sont écoulés depuis ; les êtres humains ont fait d’énormes progrès en technique, en technologies, en sciences, ils ont fait de grandes découvertes et agrandi leurs connaissances ; nous sommes parvenus à ce que de nombreuses personnes puissent jouir d’une prospérité dont les hommes de l’époque n’auraient même pas pu rêver… Une seule bombe suffirait à faire exploser toute la ville d’Alésia. Oui, nous disposons d’un arsenal d’armes avec lequel nous pourrions éradiquer l’humanité avec toute la terre.

Et pourtant, dans certains domaines, nous ne sommes pas plus avancés qu’à l’époque de César et de Vercingétorix, comme le montre l’histoire actuelle. Peut-être que les dirigeants d’aujourd’hui finissent différemment de ceux de l’époque : l’un a été étranglé après six ans de prison, l’autre a été poignardé par ses collègues.

Nous avons fait beaucoup de progrès, bientôt nous volerons sur Mars… mais nous laissons toujours des gens dans la misère mourir de faim parce que personne n’en veut. Juste quelques ONG et autres personnes essaient de leur apporter de l’aide dans la mesure du possible et par là réussissent à rehausser la morale.

Heinz Salvisberg, Buttes

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