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Chroniques
26 janvier 2023

Plus de 30’000 paraphes contre les rafles abusives

Aujourd’hui, tout propriétaire d’animal a le droit de décider de le mettre à mort, qu’il soit en bonne ou en mauvaise santé. La loi fédérale sur la protection des animaux considère que la dignité et le bien-être des animaux ne comprennent pas leur droit à la vie, selon l’association SOS Chats Noiraigue. C’est ce constat, couplé à une affaire de supposée maltraitance animale dans le canton, qui a amené l’équipe du duo Tomi Tomek – Aurore Lecerf à prendre le taureau par les cornes. Initiée en juin 2022, l’association a lancé une pétition pour interdire l’euthanasie sans justes motifs. La barre des 30’000 paraphes a été dépassée en ce début d’année.

La récolte des signatures contre l’euthanasie abusive des animaux a été fructueuse. « Nous en avons récolté 30’027. Et nous continuons la récolte jusqu’à la fin du mois de février où nous irons la déposer à Berne », confient Tomi Tomek et Aurore Lecerf. Derrière elles, on retrouve plusieurs associations comme la SPA de La Chaux-de-Fonds, la Fondation Brigitte Bardot ou encore la coalition animaliste (COA).

L’interdiction de la vente d’animaux sur internet : c’était non !

Des personnalités publiques de différents pays ont également signé la pétition. Michel Drucker et Alain Morisod sont de celles-ci. « Comme ce n’est pas une initiative populaire, il est possible de faire signer notre texte à l’étranger. Cela renforce malgré tout son poids, dans le sens que cela démontre que l’idée est jugée bonne dans d’autres pays que la Suisse. » Une fois déposée à Berne, la pétition sera examinée par une commission qui décidera de la présenter ou non au parlement. « Cette décision dépend beaucoup de la sensibilité des politiciens présents au sein de cette commission. Il y a quelques années, nous avions déjà apporté une proposition pour interdire la vente d’animaux sur internet. Mais elle avait été refusée car la commission n’était pas touchée par cette problématique. »

Future rencontre avec Céline Vara

Pour contrer le côté aléatoire des commissions, l’association SOS Chats Noiraigue avait revu sa stratégie en 2008. « Nous avions directement voulu entrer au parlement lors de notre combat contre le commerce des peaux de chiens et chats, en Suisse. L’idée a été d’approcher un politicien du parlement qui se sentait concerné par notre cause afin qu’il dépose lui-même une motion, en parallèle de notre pétition. Du coup, si la commission n’envoie pas la pétition devant le parlement, la motion permet de le faire. »

Cette année, c’est l’élue verte Céline Vara qui s’est sentie suffisamment concernée par l’euthanasie abusive des animaux pour porter une motion en ce sens. « Nous lui remettrons un dossier complet avec nos arguments et nos preuves sur les mises à mort, sans juste motif, qui sont perpétrées chaque année sur notre sol. Cela ne concerne pas seulement les chats et les chiens mais aussi le furet, le cheval, le lapin, le cochon d’Inde, le rat, la gerbille, le hamster doré, les oiseaux (perruches, perroquets,…), les tortues ainsi que les poissons d’aquarium. »

Un vieux meuble dont on se débarrasse ?

En résumé, la pétition sera davantage utile et utilisée pour soutenir la motion que déposera Céline Vara. « En plus, c’est un sujet très rassembleur. Beaucoup de politiciennes et de politiciens ont des animaux de compagnie et sont donc susceptibles de se sentir concernés par cette problématique. Pour nous, cette proposition est une question de bon sens. Personne ne doit pouvoir tuer son animal sans avoir une raison valable de le faire telle qu’une raison médicale impérieuse. On ne se débarrasse pas de nos animaux domestiques comme on se débarrasse de nos meubles », concluent Tomi Tomek et Aurore Lecerf !

  Kevin Vaucher

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