Rabov
We need Roger !
Depuis le 7 août et les 39 pour cent de taxes annoncés par Donald Trump, c’est l’incrédulité et la stupeur dans notre petite Helvétie.
Franchement, on croyait aux liens d’amitié américano-suisses. D’autant plus que notre Karin avait pu avoir le futur empereur au téléphone et qu’elle et Guy avaient un rendez-vous à Washington…
Visiblement, le ton professoral de Karin n’a pas été au goût de l’ancien promoteur qui n’a pas voulu « l’attraper par la *** », comme il aime le faire avec les femmes. « La dame était sympa », a-t-il seulement dit comme s’il parlait de son ex-institutrice. Guy, son anglais et son carton de chasselas n’ont pas suffi, non plus.
Maintenant, une seule personne peut sauver notre pays : Roger Federer. Le type est riche et mondialement célèbre, ça Donald adore, il parle mieux l’anglais que Guy (et même mieux que Donald d’ailleurs) et surtout il cause l’un des seuls langages du président, hormis celui de la force. Le GOLF ! En effet, l’ancien tennisman s’est mis à ce sport depuis sa retraite et est devenu plutôt bon. Handicap 7, soit seulement sept coups de plus que le nombre de références sur 18 trous, soit presque le score d’un pro.
Un petit parcours à Mar-e-Lago avec Donald et le tour est joué ! À moins que la perfection du Bâlois ne l’énerve encore plus…
Rabov