Comme beaucoup de Vallonniers, j’ai un lopin de terre que je cultive avec amour pour produire fruits et légumes et, cette année plus particulièrement, je serais triste de voir tout mon labeur anéanti par une décision des autorités. Vivre à la campagne signifie de vivre en symbiose avec la nature mais aussi de pouvoir produire une partie de son alimentation avec peu de frais et sainement.

Au lieu de prescrire, je suggère que la Commune, dont la devise est « Qualités naturelles », cherche, en prévision des sécheresses futures, des endroits pour conserver l’eau, les galeries profondes des Mines d’asphalte par exemple car, il peut pleuvoir au Vallon !

Richard Wilson,
Travers