Direction générale du Groupe E
Jacques Mauron : un homme motivé par un contexte favorable à un avenir prometteur !
En automne dernier, nous évoquions la force de l’intelligence collective de Dominique Gachoud, à quelques jours de son départ à la retraite. Aujourd’hui, à l’heure où Groupe E et la Société électrique du Val-de-Travers renforcent leur partenariat initié en 2014, nous avons souhaité mieux connaître le nouveau directeur de Groupe E, Jacques Mauron.
Carte d’identité
Carte d’identité
Nom: Mauron
Prénom: Jacques
20 août 1969, à Marly – FR, père de deux filles de 19 et 16 ans
Formation: Ingénieur physicien
EPFL, 1996, Executive MBA – IIMT – Fribourg, 2010
Parcours professionnel:
Entre 1996 et 2004 Energie Ouest Suisse (EOS) à Lausanne, Watt Suisse à Lucerne, CFF à Zollikofen, Avenis à Lausanne
• 2004-2012 : Groupe E, responsable de l’approvisionnement et du trading
• 2012-2019 : Groupe E, directeur distribution électricité
• Dès le 1er novembre 2019 : Groupe E, directeur général
Loisirs: Voyages, montagne, course à pied et cyclisme (membre des cadres suisses juniors en 1987)
Présentation
Présentation
En matière d’énergie, nous avons de fantastiques défis à relever et nous avons toutes les cartes en main pour réussir la transition énergétique ! …
Le ton est donné, on saisit immédiatement le degré de motivation du nouveau directeur d’un Groupe E qui vient d’intensifier sa collaboration avec le Val-de-Travers.
Oui, je suis très content d’être à ce poste-là aujourd’hui. J’ai de la chance…
Et lorsque l’on écoute Jacques Mauron dérouler sa philosophie énergétique et l’éventail de ses projets, on comprend que Groupe E a également beaucoup de chance de pouvoir compter sur sa palette de compétences d’une part, son énergie personnelle à permettre à son entreprise de jouer un rôle-moteur dans ce monde en pleine mutation.
Un contexte motivant
Un contexte motivant
À l’évidence, Jacques Mauron n’appartient pas au monde des « suiveurs » mais bien plutôt à la race des « premiers de cordée », lui qui apprécie la montagne.
Le peuple suisse a adopté la transition énergétique 2050, il y a peu, en 2017 ! Aujourd’hui, la population presse de plus en plus en faveur du changement climatique notamment. Nous ne sommes plus à l’époque où nous étions dans une posture d’accompagnement de la politique. Nous devons assumer un rôle-moteur en matière de transition énergétique. Groupe E a les moyens de jouer un rôle-clé en faveur de ces changements !
Rôle précurseur
Rôle précurseur
Jacques Mauron dit non seulement sa chance mais également sa fierté de se trouver à la tête d’un groupe qui a toujours tenu un rôle de précurseur dans le domaine de l’énergie :
Dans les années 70 déjà, nous installions des pompes à chaleur. Sans compter les très nombreuses réalisations de projets photovoltaïques, à plus grande échelle ! Raison pour laquelle, sans doute, aujourd’hui, des milliers de clients produisent leur propre énergie !
Le directeur de Groupe E tient à cette posture d’ouverture de progrès.
Au Val-de-Travers…
Au Val-de-Travers…
Nous avons plusieurs projets communs dans le domaine de la production !
lance Jacques Mauron qui se réjouit des excellents contacts initiés grâce à la « grande Commune ». Et d’ajouter :
La collaboration est très positive, et cette entrée dans le capital-actions scelle davantage encore le binôme. Car la situation est optimale, les avantages sont dès lors respectifs et les clients en sont bénéficiaires puisque les prix sont bas. Sans compter que nous maintenons les emplois ! Cette proximité génère une parfaite efficience : Groupe E propose les investissements et la SEVT intervient sur le terrain !
Enfin, la Montagne de Buttes !
Enfin, la Montagne de Buttes !
Assurément, on fait juste, j’en suis persuadé ! Avec l’éolien et le solaire, nous serons capables de réussir la décarbonisation !
Ainsi Jacques Mauron évoque le travail de longue haleine des initiateurs du parc éolien :
Un immense boulot auprès des autorités et de la population !
Selon le directeur de Groupe E, l’impact est acceptable :
Prenez les barrages de l’époque, par exemple ! Si on enlevait le barrage aux Gruériens aujourd’hui ! Non, l’évidence parle : avec l’éolien, c’est moins de CO2 et on a tout ce qu’il faut pour le faire !
