Fauchage trop tardif (2)
Permettez-moi de revenir sur la question de la fauche tardive. Cette fois-ci, çà concerne les bords de la route.
Je signale à la voirie qu’il devient dangereux quand l’herbe nous empêche de voir les poteaux noirs et blancs qui nous guident sur notre chemin, surtout la nuit.
N’est-il pas temps de sortir ces merveilleux robots-tondeuses qu’elle vient d’acquérir pour couper le « foin » des routes, avant que les poteaux ne disparaissent totalement ?
De l’avis d’un paysan très sérieux (et non pas d’un simple jardinier que je suis), l’idée de faucher tardivement pour sauver l’environnement est totalement loufoque puisque vous faites propager ainsi les graines des mauvaises herbes maléfiques qui reviennent l’année suivante.
Dans notre contrée, la nature a amplement la place de s’étaler sans quelle envahisse la voie publique.
Richard Wilson, Travers