Choix libre
Le désir de « faire quelque chose » s’est manifesté lors de l’installation du logiciel libre le 18 octobre.
Probablement par instinct nourricier de femme, après quelques recherches, mon choix s’est arrêté sur les besoins d’avoir de la nourriture fraîche et saine cultivée et accessible directement chez soi, même dans les milieux urbains.
Après avoir considéré insectes, escargots, pigeons, champignons ou quorn, j’ai choisi l’algoculture. Elle peut se faire à toutes les échelles. L’algue est considérée comme le « superaliment ». Sa richesse nutritionnelle est si importante qu’on peut vivre avec de l’eau et de la spiruline (laitue des mers). J’aurais pu choisir l’héliciculture (escargots), mais il faudrait du pinot noir pour les avaler…
Grâce à Internet et aux voyages, nous avons fait connaissance les uns avec les autres dans le monde entier et il y a une source de nourriture saine qui peut encore être récoltée. Alors qu’est-ce qui nous retient ?
Premiers pas : faire des recherches et centraliser la communication. Qui a des idées pour faire cela ?
Eva Renée, Fleurier

De gauche à droite : Jessie Kobel, Pierre Aucaigne, Thierry Meury et David Charles, les quatre comédiens présents à Saint-Blaise, mardi, pour présenter la 5e édition de la Revue neuchâteloise. 

