Virus et vaccin : c’est une triste actualité. Mon système veineux m’interdit le vaccin : si on ne me croit pas, je vous prête mes jambes 48 heures, vous comprendrez très vite ! Même si j’étais convaincu par l’option « vaccin », jamais je ne me permettrais de l’imposer à qui que ce soit, non seulement par respect de la volonté de l’autre, mais surtout parce que je ne me vois pas être responsable, par mon insistance, de graves complications de santé ou de la mort d’autrui : nul ne sait qui peut mal réagir aux injections, ni à quel degré. Ceci étant posé, vous aurez, tout comme moi, constaté que la pandémie n’existe pas en juillet août, sinon on aurait menacé de la quarantaine celles et ceux qui reviennent de l’étranger : non, on en parle pour octobre ! Facile de jouer les pompiers quand on a craqué l’allumette au début juillet et regardé brûler en août… et le virus est toujours inopérant à 30 km autour de la frontière… le Conseil fédéral confond crise sanitaire et crise économique, tout en s’acharnant sottement sur, entre autres, les cafetiers-restaurateurs.