Une reine à l’année
La Fête fédérale vient dʼattirer les regards et cela reste le seul moment où un certain nombre de personnes sʼintéressent à ce sport-là. Il est sans doute utile dʼajouter une précision. Beaucoup pensent que le couronnement de la reine de lutte féminine sʼeffectue en fonction de son résultat à la Fête fédérale. Eh bien non ! La reine est bien couronnée à lʼissue de cette manifestation populaire mais elle lʼest en fonction des points accumulés tout au long de lʼannée.
La lutte féminine se porte bien
En 2022, sept fêtes de lutte féminine ont été organisées, avec une participation variant de 90 à 120 lutteuses. Sur lʼensemble de lʼannée, 185 athlètes se sont affrontés dans les quatre catégories (Zwergli, Meitli 2, Meitli 1 et Actives). Cela comprend également 24 jeunes garçons de 2015 et 2016, qui peuvent concourir avec les filles, dans la catégorie Zwergli. La Suisse romande est représentée par 48 lutteuses et lutteurs. Une dizaine défendent les couleurs du Val-de-Travers.
Leuenberger 3e, Vickie Alves dans le top 20
Au niveau de leur classement annuel, le jeune Achille Leuenberger se classe à une belle troisième place grâce à sa régularité sur plusieurs mois consécutifs. Ayden Kisslig est 33e de la hiérarchie des Zwergli. Chez les Meitli 2, Vickie Alves (17e) et Kiara Philipona (24e) figurent en première moitié de tableau. Célia Philipona a intégré le top 30 des Meitli 1 (29e) mais aucune Romande ne fait partie des dix meilleures lutteuses de cette catégorie. Du côté des Actives, les Vallonnières se situent entre la 27e place de Shannon Robert et le 46e rang dʼEmelyne Tissot. Entre deux, on retrouve Jennifer Robert (31e) ainsi que Jessica Alves (41e). Et on se réjouit surtout de les retrouver la saison prochaine !