Le Centre SAS entre dans la danse
Depuis son lancement il y a quelques années, le Centre SAS s’est clairement positionné comme un pôle de compétences variées en matière de sport, de santé et de nutrition. Et pourtant, il trouve malgré tout le moyen de grandir encore en étoffant son offre avec des cours de danses chorégraphiées. Pour les plus énergiques, de la danse fitness, du dancehall et de la zumba seront enseignés dès le 30 janvier ! Et pour celles et ceux qui veulent bouger en douceur et sans impact, la zumba douce leur conviendra mieux. Présentation.
Avec les nouveaux cours de danse qui seront proposés, à partir du lundi 30 janvier, le Centre SAS aura un « catalogue de cours » de presque cinquante disciplines différentes. « Nous avons déjà des cours en musique mais il nous manquait encore des cours chorégraphiés. On est donc très content de pouvoir compter sur Sofia Da Silva Cardoso et Christelle Bihler dans notre équipe », explique Vincent Grize.
À chacun sa danse
La première femme donnera les leçons de dancehall (sorte de variante sensuelle du reggae) pendant que la seconde se chargera de la danse fitness (danse sportive rapide), de la zumba classique et de la zumba douce. Oui, comme nous vous l’indiquions dans le Courrier de la semaine dernière, Christelle Bihler donnera aussi des cours de danse orientale à espaceVal mais pour son propre compte (Vall’on danse). Pour le reste, c’est au Centre SAS qu’il faut s’adresser directement. « Le fait qu’elle ait déjà enseigné la danse par le passé est important pour nous car danser et enseigner une chorégraphie sont deux choses différentes », renchérit le gérant Vincent Grize.
« On ne fait pas de l’à-peu-près »
Son enthousiasme est partagé par la Vallonnière, tout heureuse d’avoir trouvé un écrin aussi beau pour danser et faire danser. « C’est le top de travailler au sein de cette structure qui propose tant de choses. Le Centre SAS n’oublie personne dans son offre et je trouve ça génial. » La zumba douce, particulièrement adaptée pour les personnes avec le corps âgé ou tiraillé, en est un bon exemple. « On ne fait pas de l’à-peu-près, on tient compte des besoins et des objectifs de nos clients et on les suit. » Après un mois, puis après chaque trimestre, les clients bénéficient par exemple d’un rendez-vous avec un coach pour recalibrer l’entraînement si nécessaire. « J’ai travaillé dans un fitness standard avant d’arriver au Centre SAS et c’était vraiment différent. Ici, on s’appuie sur des spécialistes dans plusieurs domaines. De sorte qu’on a toujours une réponse et un accompagnement adapté à proposer », évoque la coach Camille Amstutz.
Une balance de composition corporelle à 10’000 francs
Bref, c’est presque du coaching semi-privé. Le lutteur Kilian Colò, certains athlètes du CEP Cortaillod, le VBC Val-de-Travers et le FC Môtiers font d’ailleurs partie des clients. « Ce travail avec les sportifs régionaux est l’une de nos spécificités. Nous collaborons aussi avec des praticiens de très haut niveau comme le physiothérapeute Georges Kapsopoulos », poursuit Vincent Grize. Chacun peut donc « se payer » un bilan corporel avec celui qui s’occupe, entres autres, de la sprinteuse Ajla Del Ponte. Le « SAS » a également consenti à investir près de 10’000 francs dans une « balance impédancemètre ». Cette machine n’a rien à voir avec celles qu’on trouve pour le grand public. Elle est beaucoup plus précise et complète.
Après le bilan corporel, le bio-circuit !
« On peut vous sortir un bilan biométrique ultra détaillé en quelques minutes et vous l’expliquer. C’est parfait pour fixer des priorités sur lesquelles travailler en fonction de ses objectifs (perte de poids, prise de masse,…). » Des réponses nutritionnelles peuvent également être apportées. Et pour tout ce qui est musculation, le bio-circuit (unique dans le
canton) est parfait pour tous niveaux. Il s’agit d’un circuit de machines intelligentes qui mémorisent vos données pour toutes les séances.
Toujours à la recherche du « mieux », Camille Amstutz pense encore à quelques nouveautés pour l’avenir : « On a déjà un cours de renforcement cuisses-abdos-fessiers qui marche très bien alors pourquoi
pas faire le même concept pour le haut du corps ? » C’est sûr, avec eux, vous n’avez pas fini de danser !
Kevin Vaucher